mardi 14 janvier 2014

Révolution positive, le retour

Je t'ai parlé y'a pas longtemps de cette histoire de révolution positive (si tu t'en souviens pas ou que ce billet est passé au travers de ton fil d'actus long de dix kilomètre, c'est par)(juré, c'est pas long).
Au final, après une petite réflexion ce matin pendant la perm (j'adore la perm en solitaire, je me sens toujours très intellectuelle. Le problème, c'est que je me sens aussi un peu sans-ami) qui s'est poursuivit grâce à une conversation que j'ai eu ce midi sur je ne sais plus quelle loi (j'ai du mal à écouter tous les mots quand on m'hurle pratiquement dans l'oreille) qui en gros allait entraîner plein d'inégalités niveau impôts entre les hommes et les femmes (je crois), et que notre cher gouvernement avait fait passer cette loi en la camouflant sous un sujet polémique largement médiatisé (Dieudonné et son antisémitisme). Tout comme ça avait été fait pour le mariage gay et une autre loi (mais je sais plus laquelle)(je devrais suivre l'actualité, des fois).

On ne peut pas ne pas s'indigner.

C'est bien, de savoir voir le positif et de l'encourager.
Sauf qu'on ne peut pas voir que le positif. On ne peut pas se taire toujours sur ce qui ne va pas. Parce que parfois, il faut critiquer, dénoncer, et s'indigner (Stéphane Hessel, je te lirai un jour).


Mais le résultat de ces critiques ne devrait pas être pessimiste. Il faudrait se dire "oui, c'est comme ça, non, ça ne me plaît pas, qu'est ce que je peux faire à mon échelle pour changer ça ?" et non pas "de toute façon, le système est pourri, on arrivera jamais à rien et moi je rirais bien quand je les verrais tous arriver dans le mur vers lequel ils courent avec tant d'empressement".
Ce serait ça, le plus proche de la révolution positive.

Je sais pas vraiment comment conclure cet article. En fait.

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